20 décembre 2008
urba aurea
Urba Aurea et la porte du temps
Catherine Lafaye Latteux
Santiago Augustin Montiel
Gecko, 2008
Aux côtés de son père horloger, dans son atelier, Miette se meurt d’ennui. Chacun de ses soupirs mesure la mélancolie de ses interminables journées. Dans le silence de l’atelier, ses heures s’écoulent en battements de cœur ; les carillons rythment ses rêveries. Elle rêve d’une rencontre sur pétales de roses, de fantaisie, d’un grain de folie qui viendrait dérégler un instant sa triste vie.
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